
© Volvo
Volvo a enregistré un bénéfice en baisse pour le deuxième trimestre, en raison d'une baisse des livraisons de poids lourds. Ce bénéfice net s'est élevé à 4,94 milliards de couronnes (588 millions d'euros), dépassant les prévisions des analystes, qui tablaient sur 4,4 milliards. Le chiffre d'affaires a augmenté de 5 %, à 83,9 milliards de couronnes, aidé par une "croissance solide" en Amérique du Nord (+ 44 %), en Europe de l'Est (+ 9 %) et en Asie (+ 5 %), alors que les ventes reculaient en Europe de l'Ouest (- 7 %) et en Amérique du Sud (- 24 %).
Approche prudente en France
Au total, Volvo a livré 2 % de moins de camions (58.800 unités) qu'un an auparavant. Il a invoqué la crise économique en Europe, citant par exemple "une approche plus prudente des clients en France", qui "a eu des conséquences négatives pour la demande de camions Renault Trucks", et une transition vers des normes environnementales plus strictes au Brésil. En Europe, premier marché du groupe, "le marché des six derniers mois de l'année est difficile à prévoir" et en Amérique du Nord, deuxième, les clients "ont adopté maintenant une attitude plus attentiste en matière de commandes du fait d'inquiétudes croissantes pour l'économie américaine", a commenté le PDG, Olof Persson.
Volvo a réduit ses prévisions de ventes au Brésil où des mesures d'incitation aux investissements "n'ont pas encore eu d'effet important", selon M. Persson. Le PDG a indiqué que le groupe allait se concentrer sur son cœur de métier, les poids lourds, les engins de chantiers (Volvo CE) et les bus (Volvo Buses), après avoir vendu Volvo Aero (moteurs d'avions) et être monté à plus de 25 % dans le capital de son partenaire allemand dans les moteurs, Deutz.
Approche prudente en France
Au total, Volvo a livré 2 % de moins de camions (58.800 unités) qu'un an auparavant. Il a invoqué la crise économique en Europe, citant par exemple "une approche plus prudente des clients en France", qui "a eu des conséquences négatives pour la demande de camions Renault Trucks", et une transition vers des normes environnementales plus strictes au Brésil. En Europe, premier marché du groupe, "le marché des six derniers mois de l'année est difficile à prévoir" et en Amérique du Nord, deuxième, les clients "ont adopté maintenant une attitude plus attentiste en matière de commandes du fait d'inquiétudes croissantes pour l'économie américaine", a commenté le PDG, Olof Persson.
Volvo a réduit ses prévisions de ventes au Brésil où des mesures d'incitation aux investissements "n'ont pas encore eu d'effet important", selon M. Persson. Le PDG a indiqué que le groupe allait se concentrer sur son cœur de métier, les poids lourds, les engins de chantiers (Volvo CE) et les bus (Volvo Buses), après avoir vendu Volvo Aero (moteurs d'avions) et être monté à plus de 25 % dans le capital de son partenaire allemand dans les moteurs, Deutz.