
© Wärtsilä
Au deuxième trimestre, Wärtsilä a enregistré une hausse de son bénéfice net mais également un tassement de la croissance des commandes. Son chiffre d'affaires s'est accru de 6 %, à 1,099 milliard d'euros. Wärtsilä a fait état de perspectives contrastées pour ses deux activités. Dans l'ensemble, le groupe a maintenu sa prévision d'une hausse du chiffre d'affaires de 5 à 10 % en 2012, et d'une marge opérationnelle comprise entre 10 et 11 % de ce chiffre d'affaires.
Chiffre d'affaires en baisse dans la construction navale
Dans la génération électrique, le groupe estime pouvoir profiter du fait que "les marchés émergents en croissance continueront à investir dans de nouvelles capacités de production", et la modernisation du parc de centrales électriques des pays riches, qui veulent limiter leurs émissions de gaz à effet de serre.
En revanche, dans la construction navale, les perspectives sont "légèrement négatives" pour 2012, avec un chiffre d'affaires qui devrait être en baisse par rapport à l'année précédente. Les nouvelles commandes enregistrées par le groupe n'ont augmenté que de 2 % sur un an lors de ce deuxième trimestre, contre 13 % au premier trimestre.
Le finlandais a par ailleurs eu des difficultés à contenir ses coûts, qui ont bondi de 9 % sur un an, ce qu'il a expliqué par des éléments exceptionnels : mesures de restructuration, coûts d'acquisition et règlement du passif dans des retraites pour des activités restructurées ou arrêtées.
Chiffre d'affaires en baisse dans la construction navale
Dans la génération électrique, le groupe estime pouvoir profiter du fait que "les marchés émergents en croissance continueront à investir dans de nouvelles capacités de production", et la modernisation du parc de centrales électriques des pays riches, qui veulent limiter leurs émissions de gaz à effet de serre.
En revanche, dans la construction navale, les perspectives sont "légèrement négatives" pour 2012, avec un chiffre d'affaires qui devrait être en baisse par rapport à l'année précédente. Les nouvelles commandes enregistrées par le groupe n'ont augmenté que de 2 % sur un an lors de ce deuxième trimestre, contre 13 % au premier trimestre.
Le finlandais a par ailleurs eu des difficultés à contenir ses coûts, qui ont bondi de 9 % sur un an, ce qu'il a expliqué par des éléments exceptionnels : mesures de restructuration, coûts d'acquisition et règlement du passif dans des retraites pour des activités restructurées ou arrêtées.