Chasseur des mauvaises odeurs un peu partout dans le monde, l’alsacien Westrand trouve au Maroc un débouché aussi important que fidèle au fil des années. La fiabilité de ses prestations a vite fait le tour du pays.
La PME de 25 salariés basée à Altkirch (Haut-Rhin) est entrée au Maroc en 2004 avec la neutralisation des odeurs d’une lagune d’eaux usées dans la zone très touristique de Tetouan. Année après année, elle poursuit son intervention sur ce site.
Tetouan, Tanger, Rabat, Nadar...
Plusieurs autres marchés ont suivi. Outre Tetouan, Westrand en cumule huit simultanés actuellement : les stations d’épuration de Tanger, Rabat et Nadar, le réseau d’égouts de Tanger, ainsi que quatre décharges dont celle d’Oum Azza près de Rabat, "la plus grande décharge contrôlée d’Afrique, qui accueille 2.500 tonnes chaque jour et que nous traitons depuis six ans", précise Brice Kaszuk, le gérant-fondateur de Westrand. La plupart de ces contrats sont honorés pour le compte des poids lourds français de l’environnement, en l’occurrence Veolia pour la plupart des installations d’eaux usées et Pizzorno pour les décharges.
Au total, le Maroc représente environ 8 % du chiffre d’affaires situé à 6,3 millions d’euros l’an dernier. L’Algérie, à un degré moindre, compte aussi parmi les marchés traditionnels de la PME. Elle y actionne actuellement des rampes de pulvérisation sur des ponts d’autoroute, en partenariat avec la Lyonnaise des eaux. "Le Maghreb a toujours constitué un pôle de croissance pour nous, quelle que soit la conjoncture politique ou économique", relève Brice Kaszuk.
Tetouan, Tanger, Rabat, Nadar...
Plusieurs autres marchés ont suivi. Outre Tetouan, Westrand en cumule huit simultanés actuellement : les stations d’épuration de Tanger, Rabat et Nadar, le réseau d’égouts de Tanger, ainsi que quatre décharges dont celle d’Oum Azza près de Rabat, "la plus grande décharge contrôlée d’Afrique, qui accueille 2.500 tonnes chaque jour et que nous traitons depuis six ans", précise Brice Kaszuk, le gérant-fondateur de Westrand. La plupart de ces contrats sont honorés pour le compte des poids lourds français de l’environnement, en l’occurrence Veolia pour la plupart des installations d’eaux usées et Pizzorno pour les décharges.
Au total, le Maroc représente environ 8 % du chiffre d’affaires situé à 6,3 millions d’euros l’an dernier. L’Algérie, à un degré moindre, compte aussi parmi les marchés traditionnels de la PME. Elle y actionne actuellement des rampes de pulvérisation sur des ponts d’autoroute, en partenariat avec la Lyonnaise des eaux. "Le Maghreb a toujours constitué un pôle de croissance pour nous, quelle que soit la conjoncture politique ou économique", relève Brice Kaszuk.
