Lancé à la fin du second trimestre, le désengagement de Wincanton sur le continent européen dans les métiers du transport et de la logistique a pris un tournant radical avec la cession de ses activités restantes en France et en Allemagne au groupe Rhénus.
C’est donc la fin de l’aventure continentale pour Wincanton dans les métiers du transport et de la logistique. Le groupe y a en effet signé un accord de cession englobant toutes ses opérations restantes au profit de Rhénus AG.
Première vague
Cette vente concerne les activités françaises et allemandes dans les domaines de la logistique contractuelle, le multimodal et le transport, soit soixante-huit sites et un effectif de 3.000 personnes. Le montant de la transaction s’élève à 44 millions d’euros auxquels s’ajouteront 30 millions d’euros de reprise du plan de retraite. L’ensemble sera utilisé par Wincanton pour réduire son endettement. “La vente de nos activités restantes en Europe continentale va nous permettre de nous recentrer sur les marchés anglais et irlandais où nous faisons partie des leaders et disposons d’opportunités de développement importantes dans un grand nombre de secteurs”, explique le groupe. Une douche froide pour ses collaborateurs français puisqu’il y a quelques mois encore il se déclarait “confiant sur le fait d’atteindre l’équilibre financier cette année en France”.
Première vague
Cette vente concerne les activités françaises et allemandes dans les domaines de la logistique contractuelle, le multimodal et le transport, soit soixante-huit sites et un effectif de 3.000 personnes. Le montant de la transaction s’élève à 44 millions d’euros auxquels s’ajouteront 30 millions d’euros de reprise du plan de retraite. L’ensemble sera utilisé par Wincanton pour réduire son endettement. “La vente de nos activités restantes en Europe continentale va nous permettre de nous recentrer sur les marchés anglais et irlandais où nous faisons partie des leaders et disposons d’opportunités de développement importantes dans un grand nombre de secteurs”, explique le groupe. Une douche froide pour ses collaborateurs français puisqu’il y a quelques mois encore il se déclarait “confiant sur le fait d’atteindre l’équilibre financier cette année en France”.