Sur les neuf premiers mois de l’année, le leader portuaire européen a traité 350,1 Mt, en hausse de 8,6 % par rapport à 2020. Une tendance dans le conteneur, qui se dessinait durant la première partie de l’année, se confirme : l’écart de trajectoire entre tonnage et unités EVP. La forte baisse du poids moyen des boîtes pleines explique à elle seule la situation.
Le premier port de la rangée nord-européenne avait déjà nettement redressé le cap au premier semestre après avoir été secoué en 2020 avec des trafics en baisse de 7 % quand son challenger Anvers maintenait le cap. Le minerai de fer et le charbon – reflet du boom des matières premières et prémices de la crise énergétique qui se joue actuellement –, avaient alors tiré les flux vers le haut. Les prix élevés du gaz ont permis à la production d'électricité à partir du charbon d'être compétitive malgré des droits d'émission de carbone…
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