Le ro-pax français à la peine

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Le ferry, parent pauvre du plan de relance français? Angle mort des politiques publiques? S’estimant les grands oubliés des mesures pompiers, les acteurs du secteur n’emploient plus le mode interrogatif depuis quelque temps déjà.

Condamnés à la quasi-inactivité par des décisions gouvernementales pour des raisons sanitaires tout en étant assigné à maintenir le fret pour assurer l’approvisionnement des produits de première nécessité, les opérateurs de ferries et de ro-pax n’ont pas bénéficié des largesses spécifiques de l’État français auxquels ont eu droit les entreprises du tourisme. Ils ont dû se contenter des mesures relevant du droit commun (prêt garanti par l’État et chômage partiel). Dans le cadre du plan de relance Tourisme, les conditions auraient été nettement plus confortables. L’assiette est établie sur la base des trois plus importants mois de chiffre d’affaires (contre 25 % du CA moyen pour un PGE standard).De prime abord, le plan…
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