L'embellie se confirme pour le conteneur sur le range nord-européen. Après Anvers, Rotterdam a également enregistré une hausse des flux de conteneurs durant le premier trimestre. À noter également, le boom du trafic de feeders vers les ports méditerranéens, effet dû à la crise de la mer rouge. Le GNL et le minerai de fer ont été d'autres sources de satisfaction.
L’an dernier, pour la même période, le tonnage manutentionné par le premier port européen avait baissé de 1,5 % par rapport au premier trimestre 2022, avec un avertissement sévère pour le conteneur : une chute de 11,6 % et un modeste volume de 3,2 MEVP.L’année démarrait mal pour le port néerlandais, subissant de plein fouet les effets de la guerre en Ukraine, la Russie étant un de ses premiers clients pour les flux conteneurisés. Deux autres filières marquaient également le repli : le trafic roulier (- 2,2 %, à 6,6 Mt), cette fois en lien avec la baisse des échanges outre-Manche, et les marchandises…
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