L’exploitation d’un navire sans émissions pourra renchérir les taux de fret jusqu'à 450 $

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Brussels Express

Le Brussels Express de Hapag-Lloyd

Crédit photo ©HLAG
Dans une étude d'une trentaine de pages qu’il vient de publier, le consultant maritime britannique UMAS a cherché à estimer les coûts induits par l’exploitation d'un porte-conteneurs sans émissions. Dans le scénario élevé, les taux de fret doubleraient par rapport à la moyenne des tarifs observés entre 2010 et 2023.
« L'écart de coût du carburant est désormais reconnu comme le principal obstacle à la transition du transport maritime et sa résolution nécessite une conversation franche sur l'ampleur du défi », tranche Camilo Perico, auteur de l’étude que vient de publier le cabinet de conseil britannique spécialisé dans le maritime UMAS.
« L'analyse montre que les coûts du carburant sont une composante majeure du coût global et donc le principal facteur du coût total d'exploitation », complète Nishatabbas Rehmatulla, chercheur principal à l'UCL Energy Institute et co-auteur de l'étude.

Alors que les armateurs ont…
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