Avec les vracs, le trafic roulier et le breakbulk toujours nettement dans le rouge au troisière trimestre 2020, Rotterdam reste nettement en-deça de son résultat sur la période correspondante de 2019. Mais les conteneurs se redressent. Le port veut accélérer sur des projets pour aider à la reprise et poursuivre sur le chemin du verdissement.
Avec un score global de 322,32 Mt à la fin septembre 2020, Rotterdam a toujours 8,8 % à rattraper par rapport à l’exercice précédent. L’amélioration par rapport à la fin juin (-9,1 %) reste très limitée, mais cela s’explique, en partie, par le fait que le grand port néerlandais reste – plus que son concurrent anversois – très dépendant de trafics durement affectés par les conséquences économiques de la crise sanitaire, comme le pétrole et les vracs secs.
Le pétrole brut fait légèrement mieux que la moyenne (-8 % à 71,10 Mt), mais les produits pétroliers restent au creux de la vague (-18,9 % à 42,67 Mt). Le GNL, encore en hausse sur les six premiers mois, a lui aussi sombré (-7,9 % à 5,05 Mt). Le total pour les vracs liquides (-10,4 % à 142,96 Mt) s’en ressent.
Les vracs secs (-18,6 % à 45,48 Mt) se portent nettement…
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