Prestataire en global supply chain management, expert en approvisionnement et en distribution internationale, la société Acte International emploie 17 personnes et a des partenaires dans une soixantaine de pays. Elle pilote les supply chains de ses clients internationaux en consolidant les maillons à risques tels que le sourcing, la conformité douanière et fiscale dans tous les pays, la responsabilité sociale, éthique et environnementale internationale, le respect des règles internationales et la lutte contre la corruption.
Acte International est certifiée OEA en tant que transitaire et déclarant en douane, C-TPAT (États-Unis), OPQF (Office professionnel de qualification des organismes de formation), OPQCM et Ethic Intelligence et elle dispose aussi de l’agrément Iata.
Anne Le Rolland, présidente, et Diana Cammarano, directrice associée, viennent de présenter leur plan de développement. Il concerne notamment le lancement d’une filiale au Maroc et une prise de participation dans une entreprise malienne pour un déploiement au Sénégal, au Congo Brazzaville et en Côte d’Ivoire, ce qui générera des embauches de personnes qualifiées et aptes à travailler dans un environnement multiculturel. Le montant d’investissement pour des prises de participation dans différentes entreprises en Afrique atteint 500.000 euros.
Acte International met aussi l’accent sur le «cross trade» porté par les stratégies industrielles de tous les pays. Le principe du «cross trade» est de livrer depuis le site de production le plus proche avec un parcours d’acheminement le plus court au prix le plus compétitif. Même si elle apporte une autre complexité opérationnelle et réglementaire, cette forme d’exportation nécessite d’optimiser tous les maillons de la supply chain et ouvre de fortes opportunités pour les entreprises françaises dans une optique même de ré-industrialisation. La première raison de l’émergence du «cross trade» est l’exigence de certains pays comme la Chine ou l’Inde qu’une partie du produit commandé soit fabriqué sur leur propre territoire.
Acte International est certifiée OEA en tant que transitaire et déclarant en douane, C-TPAT (États-Unis), OPQF (Office professionnel de qualification des organismes de formation), OPQCM et Ethic Intelligence et elle dispose aussi de l’agrément Iata.
Anne Le Rolland, présidente, et Diana Cammarano, directrice associée, viennent de présenter leur plan de développement. Il concerne notamment le lancement d’une filiale au Maroc et une prise de participation dans une entreprise malienne pour un déploiement au Sénégal, au Congo Brazzaville et en Côte d’Ivoire, ce qui générera des embauches de personnes qualifiées et aptes à travailler dans un environnement multiculturel. Le montant d’investissement pour des prises de participation dans différentes entreprises en Afrique atteint 500.000 euros.
Acte International met aussi l’accent sur le «cross trade» porté par les stratégies industrielles de tous les pays. Le principe du «cross trade» est de livrer depuis le site de production le plus proche avec un parcours d’acheminement le plus court au prix le plus compétitif. Même si elle apporte une autre complexité opérationnelle et réglementaire, cette forme d’exportation nécessite d’optimiser tous les maillons de la supply chain et ouvre de fortes opportunités pour les entreprises françaises dans une optique même de ré-industrialisation. La première raison de l’émergence du «cross trade» est l’exigence de certains pays comme la Chine ou l’Inde qu’une partie du produit commandé soit fabriqué sur leur propre territoire.
"Filiale au Maroc, participation au Mali, déploiement au Sénégal..."
«Au-delà des flux physiques entre différents pays qui requièrent des opérations logistiques et douanières, le commerce international est au cœur des enjeux de développement économique et de stabilité politique des pays. En ajoutant les dimensions humaines, environnementales, sociétales et éthiques des affaires, aux objectifs d’optimisation et de sécurisation de leurs marchés, nos clients gagnent en pérennité autant qu’en rentabilité», insiste Anne Le Rolland, qui travailla dix ans pour des transitaires internationaux avant de créer son entreprise. Elle estime aussi que la lutte contre la corruption est aujourd’hui l’un des enjeux prioritaires des entreprises, TPE, PME ou grands groupes…