
La dette nette du groupe est attendue à 2,3 milliards de dollars pour 2016 © CGG
CGG a décidé de s'attaquer à sa dette. Le parapétrolier français a annoncé cette décision alors qu'il souffre de la pression des compagnies pétrolières et gazières, ses principaux clients, elles-mêmes obligées de tailler dans leurs dépenses face à l'effondrement des cours du brut. Même s'ils ont amorcé une remontée en septembre, les prix de l'or noir ont en effet été divisés par deux depuis l'été 2014.
Mandataire ad hoc
"Avec un environnement de marché qui devrait rester similaire en 2017 et continuer de peser sur son volume d'activités, la société considère que le niveau d'endettement du groupe est trop élevé", a expliqué le spécialiste des services et équipements géophysiques, même si le quatrième trimestre devrait enregistrer le chiffre d'affaires trimestriel le plus élevé de l'exercice 2016.
"Elle entend entamer des discussions avec l'ensemble des parties prenantes dans leurs différentes juridictions en vue de parvenir à une restructuration financière. L'objectif de cette restructuration serait de doter l'entreprise d'un niveau d'endettement et de charges financières substantiellement réduits et durablement adaptés au volume d'activités", a-t-il ajouté.
Afin de faciliter les négociations avec les créanciers, le parapétrolier a dit se réserver la possibilité de demander la nomination d'un "mandataire ad hoc", moyennant l'accord des prêteurs concernés.
Fin 2016, la dette nette de CGG devrait s'établir à près de 2,315 milliards de dollars, le groupe s'étant fixé comme objectif de rester en dessous du seuil des 2,4 milliards de dollars pour l'année. Selon un analyste parisien, CGG "a besoin de réduire sa dette nette de plus de 900 millions de dollars avant la fin de l'exercice 2017".
Mandataire ad hoc
"Avec un environnement de marché qui devrait rester similaire en 2017 et continuer de peser sur son volume d'activités, la société considère que le niveau d'endettement du groupe est trop élevé", a expliqué le spécialiste des services et équipements géophysiques, même si le quatrième trimestre devrait enregistrer le chiffre d'affaires trimestriel le plus élevé de l'exercice 2016.
"Elle entend entamer des discussions avec l'ensemble des parties prenantes dans leurs différentes juridictions en vue de parvenir à une restructuration financière. L'objectif de cette restructuration serait de doter l'entreprise d'un niveau d'endettement et de charges financières substantiellement réduits et durablement adaptés au volume d'activités", a-t-il ajouté.
Afin de faciliter les négociations avec les créanciers, le parapétrolier a dit se réserver la possibilité de demander la nomination d'un "mandataire ad hoc", moyennant l'accord des prêteurs concernés.
Fin 2016, la dette nette de CGG devrait s'établir à près de 2,315 milliards de dollars, le groupe s'étant fixé comme objectif de rester en dessous du seuil des 2,4 milliards de dollars pour l'année. Selon un analyste parisien, CGG "a besoin de réduire sa dette nette de plus de 900 millions de dollars avant la fin de l'exercice 2017".