Illustré par les nouveaux services rail-route avec la Chine, DSV développe à Gennevilliers un bouquet de solutions multimodales connectées à ses réseaux mondiaux. Pour accompagner sa croissance en Île-de-France, le groupe a pris ses quartiers dans de nouvelles installations sur le port francilien.
Inauguré d’ici octobre prochain, le nouveau hub parisien de DSV à Gennevilliers s’accompagne du lancement de nouvelles dessertes internationales à l’image "de liaisons hebdomadaires conteneurisées FCL-LCL avec la Chine".
Présentés par Arnaud Zani, directeur général délégué de DSV Air and Sea, deux itinéraires sont proposés : "Une route Sud via le Kazakhstan et la Russie en provenance et à destination de la Chine centrale et les villes de Chengdu, Chongqing ou Zhengzhou, une route Nord via la Sibérie reliant les régions Nord de la Chine et les villes de Beijing, Dalian, Suzhou ou Shenyang". Dans les deux cas, les pré et post-acheminements sont effectués par route jusqu’aux terminaux européens situés à Hambourg et à Duisbourg. "Le transit-time porte-à-porte entre la France et la Chine est de 20 à 25 jours, un délai divisé par près de deux avec le maritime pour un coût très compétitif par rapport à l’aérien". Hors matières dangereuses et sous température dirigée, ces services rail-route acceptent toutes les marchandises, assurance et formalités douanières incluses.
Liaisons quotidiennes avec l’Europe
Acteur historique du port de Gennevilliers, DSV s’y est de nouveau engagé sur le long terme suite à l’aménagement sur 3,5 hectares de son nouveau hub. "Opérationnel depuis fin 2017 avec 200 personnes, il héberge le siège et les activités de nos divisions DSV Road et Air and Sea France", précise Vincent Merletti, directeur général de DSV Road en France.
Liaisons quotidiennes avec l’Europe
Acteur historique du port de Gennevilliers, DSV s’y est de nouveau engagé sur le long terme suite à l’aménagement sur 3,5 hectares de son nouveau hub. "Opérationnel depuis fin 2017 avec 200 personnes, il héberge le siège et les activités de nos divisions DSV Road et Air and Sea France", précise Vincent Merletti, directeur général de DSV Road en France.
À 8 km du centre de Paris et représentant un investissement de 10 millions d’euros environ, il se compose de deux bâtiments de 3.500 et 8.000 m2 sous vidéosurveillance. Équipé d’une zone sous douane et d’une cinquantaine de portes à quai, le plus grand rassemble les opérations de transit routier. "Par liaisons import-export quotidiennes directes, en groupage et charges complètes, il est connecté à toute l’Europe avec des transit-times de 24/96 heures. Ce plan de transport est complété par le service urgent DSV Speed avec moyens dédiés". Avec seize agences dont trois à Lille, Paris et Lyon jouant un rôle de hub, DSV Road France a traité l’an passé 900.000 expéditions essentiellement à l’international pour un tonnage de 2,4 millions de tonnes.
Du colis au conteneur
De son côté, DSV Air and Sea France déclare 71.000 EVP FCL et 20.000 tonnes de fret aérien en 2017. "Suite à la reprise d’UTI Worldwide, nous avons renforcé nos positions en aérien où nous y enregistrons une croissance de 30 % contre 3 % environ en maritime", confie Arnaud Zani. La totalité du fret aérien transite par Roissy-CDG où le groupe dispose de ses propres installations et Orly. Pour la partie maritime de et vers l’Île-de-France, Le Havre et Dunkerque sont privilégiés.
Du colis au conteneur
De son côté, DSV Air and Sea France déclare 71.000 EVP FCL et 20.000 tonnes de fret aérien en 2017. "Suite à la reprise d’UTI Worldwide, nous avons renforcé nos positions en aérien où nous y enregistrons une croissance de 30 % contre 3 % environ en maritime", confie Arnaud Zani. La totalité du fret aérien transite par Roissy-CDG où le groupe dispose de ses propres installations et Orly. Pour la partie maritime de et vers l’Île-de-France, Le Havre et Dunkerque sont privilégiés.
