Sur les sept premiers mois de l'année, Fécamp affichait une belle progression de son trafic, sous l'impulsion des importations, qui représentent les trois quarts des volumes du port.
Lors du dernier conseil portuaire de juin, chez les opérateurs, utilisateurs ou responsables portuaires de Fécamp, le sourire était de mise. Fin juillet, le port départemental affichait un trafic global en progression de près de 10 %, à 157.000 tonnes.
"Les quais et les hangars sont souvent pleins. Tout le monde est content", se réjouit Laëtitia Deransi, qui dirige le port depuis octobre dernier pour le compte du concessionnaire, soit la délégation Fécamp-Bolbec de la CCI Seine-Estuaire. À fin juillet, les exportations reculaient certes de 5,7 % mais les importations, qui représentent trois fois plus en volume, progressaient de plus de 16 %, à 117.400 tonnes.
Parmi elles, les entrées d’agrégats marins pour le compte de deux opérateurs régionaux conservent leur leadership avec 41.600 tonnes malgré un léger tassement (- 7,5 %). Juste derrière, les pâtes à papier venues de Scandinavie (Suède et Finlande) confirment leur regain avec 40.000 tonnes, + 61,3 %, après l’arrêt technique de l'usine cliente dans la Sarthe qui avait provoqué un effondrement des trafics ces deux dernières années.
Nouveau trafic : le bois "prêt à l’emploi"
Autre grand classique fécampois, les entrées de néphéline enregistrent un léger repli, non significatif, à plus de 10.000 tonnes. Nouveau trafic apparu fin 2018, les importations de bois "prêts à l’emploi" poursuivent leur progression à 17.500 tonnes (+ 49,7 %). Enfin, les entrées d’huiles en provenance d’Afrique et destinées au groupe international Olvea, fondé à Fécamp en 1929 par la famille Daudruy, confirment leur montée en puissance à 7.800 tonnes (+ 54,3 %).
Du côté de l'export, les sorties de bois sciés vers le Royaume-Uni progressent (+ 79,2 %) et celles panneaux de particules produits par l’usine Linex redeviennent robustes à plus de 30.000 tonnes après sept mois.
"Les quais et les hangars sont souvent pleins. Tout le monde est content", se réjouit Laëtitia Deransi, qui dirige le port depuis octobre dernier pour le compte du concessionnaire, soit la délégation Fécamp-Bolbec de la CCI Seine-Estuaire. À fin juillet, les exportations reculaient certes de 5,7 % mais les importations, qui représentent trois fois plus en volume, progressaient de plus de 16 %, à 117.400 tonnes.
Parmi elles, les entrées d’agrégats marins pour le compte de deux opérateurs régionaux conservent leur leadership avec 41.600 tonnes malgré un léger tassement (- 7,5 %). Juste derrière, les pâtes à papier venues de Scandinavie (Suède et Finlande) confirment leur regain avec 40.000 tonnes, + 61,3 %, après l’arrêt technique de l'usine cliente dans la Sarthe qui avait provoqué un effondrement des trafics ces deux dernières années.
Nouveau trafic : le bois "prêt à l’emploi"
Autre grand classique fécampois, les entrées de néphéline enregistrent un léger repli, non significatif, à plus de 10.000 tonnes. Nouveau trafic apparu fin 2018, les importations de bois "prêts à l’emploi" poursuivent leur progression à 17.500 tonnes (+ 49,7 %). Enfin, les entrées d’huiles en provenance d’Afrique et destinées au groupe international Olvea, fondé à Fécamp en 1929 par la famille Daudruy, confirment leur montée en puissance à 7.800 tonnes (+ 54,3 %).
Du côté de l'export, les sorties de bois sciés vers le Royaume-Uni progressent (+ 79,2 %) et celles panneaux de particules produits par l’usine Linex redeviennent robustes à plus de 30.000 tonnes après sept mois.
