À la fin du mois de juillet, le très discret port départemental du Tréport situé à l’embouchure de la Bresle, aux confins de la Picardie, était un peu en recul sur ses marques de 2018. Mais comptait rattraper son retard au second semestre.
Après sept mois, le trafic global du port du Tréport s’établissait à 124.800 tonnes, soit - 16 %. "Mais les prévisions de trafic sont bonnes pour le troisième trimestre et nous devrions terminer l’année sur les mêmes scores que 2018", indique-t-on à la CCI Littoral Hauts-de-France, concessionnaire du port appartenant au conseil départemental de Seine-Maritime.
Les entrées d’engrais se situaient à 45.500 tonnes et celles des produits chimiques de base à 18.500 tonnes fin juillet. Les entrées de bentonite affichaient le score de 37.000 tonnes atteint l’an dernier à la fin août et les sorties de granusil dépassaient les 13.500 tonnes. Enfin les sorties de pneus déchiquetés se situaient au-delà des 10.200 tonnes. Seules les entrées de graves de mer pour le groupe Lhotellier restaient bloquées à zéro.
Les entrées d’engrais se situaient à 45.500 tonnes et celles des produits chimiques de base à 18.500 tonnes fin juillet. Les entrées de bentonite affichaient le score de 37.000 tonnes atteint l’an dernier à la fin août et les sorties de granusil dépassaient les 13.500 tonnes. Enfin les sorties de pneus déchiquetés se situaient au-delà des 10.200 tonnes. Seules les entrées de graves de mer pour le groupe Lhotellier restaient bloquées à zéro.
