La Commission européenne soutient l'extension des corridors européens au port de Nantes-Saint-Nazaire et au tronçon Marseille-Gênes. Ces ajustements figurent dans sa proposition de budget 2021-2027.
La Commission européenne a officialisé ses propositions budgétaires concernant la prochaine période de financement du Mécanisme pour l'interconnexion en Europe (MIE), de 2021 à 2027.
Le document comporte des bonnes nouvelles pour la France, qui devrait bénéficier, comme dix autres pays, de l'extension des neuf corridors prioritaires du Réseau transeuropéen de transport (RTE-T). D'une part, la liaison entre Marseille et Gênes figure dans les propositions d'élargissement du corridor Méditerranée. D'autre part, le port de Nantes-Saint-Nazaire, jusqu'ici exclu du réseau central, serait intégré au corridor Atlantique.
Le corridor Méditerranée s'étend de Budapest à Algésiras, via Trieste, Milan, Lyon et Marseille avec deux branches touchant respectivement Barcelone et Madrid. La prise en compte de l'axe Marseille-Gênes est une demande récurrente de la part des collectivités locales et du port de Marseille-Fos, notamment, et un cheval de bataille pour le président de région par intérim (LR), Renaud Muselier. Le député européen et président de la commission Europe à l’Association des régions de France (ARF) s'en attribue d'ailleurs le mérite.
Le document comporte des bonnes nouvelles pour la France, qui devrait bénéficier, comme dix autres pays, de l'extension des neuf corridors prioritaires du Réseau transeuropéen de transport (RTE-T). D'une part, la liaison entre Marseille et Gênes figure dans les propositions d'élargissement du corridor Méditerranée. D'autre part, le port de Nantes-Saint-Nazaire, jusqu'ici exclu du réseau central, serait intégré au corridor Atlantique.
Le corridor Méditerranée s'étend de Budapest à Algésiras, via Trieste, Milan, Lyon et Marseille avec deux branches touchant respectivement Barcelone et Madrid. La prise en compte de l'axe Marseille-Gênes est une demande récurrente de la part des collectivités locales et du port de Marseille-Fos, notamment, et un cheval de bataille pour le président de région par intérim (LR), Renaud Muselier. Le député européen et président de la commission Europe à l’Association des régions de France (ARF) s'en attribue d'ailleurs le mérite.