Les sanctions sur les exportations de brut russe n'ont pas eu les effets attendus

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Á partir du 5 février, un second plafond de prix sera introduit pour les carburants et les produits pétroliers russes après celui du pétrole brut, en vigueur depuis le 5 décembre. Pour la Russie, le plafonnement des produits pétroliers devrait être plus douloureux que celui du pétrole brut. Trouver des navires ou des acheteurs pour transporter et importer du brut russe n’a en effet pas été particulièrement problématique.


Selon les estimations de Rystad Energy, les exportations russes de brut par voie maritime ont rebondi en janvier – 3,2 millions de barils par jour (Mb/j) à la fin de la deuxième semaine de janvier –, après avoir fortement chuté en décembre en raison de l'entrée en vigueur (le 5 décembre) de l’embargo européen et du plafonnement des prix par le G7, assorti d'un mécanisme d'ajustement permettant de maintenir le plafond à 5 % en dessous du prix du marché.

« L'effet des sanctions sur le volume des exportations de pétrole…
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