L’interdiction d’utiliser le puissant insecticide qui traite par fumigation les céréales lors de leur transport en mer, pourrait finalement être contournée, ont indiqué des représentants du gouvernement français. La mesure serait préjudiciable aux céréales françaises mais aussi à certains de ses ports. Au profit de la concurrence.
Un jour après avoir semé la panique chez les céréaliers, l’interdiction d’utiliser la phosphine, qui devait entrer en vigueur le 25 avril, pourrait ne pas être respectée. L'usage de ce puissant insecticide, dont l’autorisation de mise sur le marché devait être retirée par l'Agence française de sécurité sanitaire (Anses), est exigé au port de destination par de nombreux pays importateurs. Et non des moindres : les clients des céréales françaises, à savoir l'Algérie, la Tunisie et une grande partie des…
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