
© Finmeccanica
Finmeccanica a enregistré un bénéfice au deuxième trimestre divisé par dix. Le bénéfice net du groupe, contrôlé par l’État italien, a chuté à 44 millions d'euros sur la période contre 449 millions un an plus tôt mais ce résultat avait été gonflé par une plus-value tirée de la cession de 45 % d'Ansaldo Energia. Sans cette plus-value, le bénéfice net aurait été de 6 millions au deuxième trimestre 2011. Le groupe a en revanche enregistré un bond de 33 % de son résultat brut d'exploitation (Ebita) à 285 millions tandis que son chiffre d'affaires a reculé de 3 % à 4,3 milliards.
Une année de délicate transition
"Les résultats du premier semestre et en particulier du deuxième trimestre montrent une amélioration encourageante des principaux indicateurs et une reprise de la rentabilité, signe que le plan de restructuration et d'efficience avance selon le calendrier et les modalités prévues", a déclaré le PDG, Giuseppe Orsi. Le groupe a donc confirmé ses objectifs annuels et table toujours sur un Ebita d'environ 1,1 milliard d'euros et un chiffre d'affaires compris entre 16,9 et 17,3 milliards. Mais "2012 reste toutefois une année de délicate transition", a prévenu M. Orsi
Confronté à des budgets de défense en baisse et aux difficultés de certaines de ses activités comme les transports et l'aéronautique, Finmeccanica a accusé en 2011 une perte de 2,3 milliards en raison de provisions exceptionnelles liées à la profonde restructuration qu'il a entamée pour se redresser. Le groupe compte se concentrer sur les activités où il peut être leader au niveau mondial et céder des actifs pour un montant d'environ 1 milliard d'euros d'actifs d'ici fin 2012, en particulier dans les transports.
Une année de délicate transition
"Les résultats du premier semestre et en particulier du deuxième trimestre montrent une amélioration encourageante des principaux indicateurs et une reprise de la rentabilité, signe que le plan de restructuration et d'efficience avance selon le calendrier et les modalités prévues", a déclaré le PDG, Giuseppe Orsi. Le groupe a donc confirmé ses objectifs annuels et table toujours sur un Ebita d'environ 1,1 milliard d'euros et un chiffre d'affaires compris entre 16,9 et 17,3 milliards. Mais "2012 reste toutefois une année de délicate transition", a prévenu M. Orsi
Confronté à des budgets de défense en baisse et aux difficultés de certaines de ses activités comme les transports et l'aéronautique, Finmeccanica a accusé en 2011 une perte de 2,3 milliards en raison de provisions exceptionnelles liées à la profonde restructuration qu'il a entamée pour se redresser. Le groupe compte se concentrer sur les activités où il peut être leader au niveau mondial et céder des actifs pour un montant d'environ 1 milliard d'euros d'actifs d'ici fin 2012, en particulier dans les transports.