
Neuf compagnies maritimes membres d'Armateurs de France, dont Orange Marine, ont ratifié la charte Sails © Orange Marine
Sails (pour Sustainable Actions for Innovative and Low Impact Shipping)… Ce ne sont pas moins de neuf compagnies maritimes membres d'Armateurs de France* qui ont ratifié cette nouvelle charte à l’occasion de son lancement, à l'initiative du ministère de la Transition écologique et solidaire.
Parmi les mesures phare exposées à l'hôtel de Roquelaure figurent "le développement du branchement électrique des navires à quai, l’utilisation croissante de carburants alternatifs comme le gaz naturel liquéfié (GNL) ou encore l’expérimentation d’un filtre à particules".
Armateurs de France souligne que ses membres s’engagent à "mettre en place des actions spécifiques dans tout ou partie de certains domaines". Et de citer "la protection des cétacés, la réduction de l'impact sonore sous-marin des navires, la diminution des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre". Autres secteurs dans lesquels les armateurs nationaux disent s'impliquer : le renforcement de leurs liens avec le secteur scientifique, la lutte contre les espèces invasives, l'optimisation de la performance énergétique des navires, la sensibilisation des passagers et une meilleure définition des routes maritimes. "Des actions spécifiques pour les compagnies de croisières et de ferries", ajoute l'association.
Parmi les mesures phare exposées à l'hôtel de Roquelaure figurent "le développement du branchement électrique des navires à quai, l’utilisation croissante de carburants alternatifs comme le gaz naturel liquéfié (GNL) ou encore l’expérimentation d’un filtre à particules".
Armateurs de France souligne que ses membres s’engagent à "mettre en place des actions spécifiques dans tout ou partie de certains domaines". Et de citer "la protection des cétacés, la réduction de l'impact sonore sous-marin des navires, la diminution des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre". Autres secteurs dans lesquels les armateurs nationaux disent s'impliquer : le renforcement de leurs liens avec le secteur scientifique, la lutte contre les espèces invasives, l'optimisation de la performance énergétique des navires, la sensibilisation des passagers et une meilleure définition des routes maritimes. "Des actions spécifiques pour les compagnies de croisières et de ferries", ajoute l'association.
"Une étroite collaboration entre les le secteur privé et les services de l'État"
Jean-Marc Roué, le président d'Armateurs de France, a déclaré : "La charte Sails prouve encore une fois l’efficacité de la collaboration entre les services de l’État et le secteur privé. Elle illustre la richesse des projets partagés. Une nouvelle méthode de travail, incontestablement plus efficace, plus dynamique, plus interactive, est désormais instaurée". Selon lui, cette étroite coopération a d’ailleurs déjà porté ses fruits cette année puisque "la France a soumis à l’Organisation maritime internationale (OMI) un projet préconisant la mise en œuvre immédiate de la régulation de vitesse des navires vraquiers pour atteindre les objectifs de réduction de gaz à effet de serre fixés par l’Organisation".
* Brittany Ferries, CMA CGM, Corsica Ferries, Corsica Linea, La Méridionale, Louis Dreyfus Armateurs, L’Express des îles, Orange Marine et Ponant