Le port de Bordeaux a achevé le mois de mars de mars sur une activité en stagnation. En revanche, le premier trimestre de l'année a marqué une baisse due à une mauvaise tenue de toutes les filières.
Alors que la crise sanitaire battait son plein, le port de Bordeaux a enregistré au mois de mars une activité globale en stagnation (- 0,56 %) par rapport à mars 2019. Le trafic s'est élevé au total à 533.932 tonnes.
Les vracs liquides sont la seule filière à avoir connu une hausse. À 375.403 t, ils ont progressé de 1,92 % contre 368.339 t l'an dernier. La progression de 6,51 % des hydrocarbures (324.793 t contre 304.935 t l'an dernier) a joué un rôle majeur dans l'augmentation de ce secteur d'activité.
À 118.176 t, les vracs solides ont enregistré une baisse de 6,95 % au cours du 3e mois de l'année. Quant à la filière des "autres marchandises", elle a reculé de 3,03 %, pour s'établir à 40.353 t. Dans cette catégorie de trafic, le nombre d'EVP a chuté de 28,82 %, passant en un an de 2.491 à 3.209 EVP.
Recul global pour le trimestre
Pour le premier trimestre, à 1.584.821 t, le trafic global du port girondin a reculé de 7,30 % par rapport à 2019 où il s'était élevé à 1.709.702 t. Cette baisse est due au recul des hydrocarbures (-1,72 %, 1.115.485 t), à celui des vracs solides (-15,08 %, 399.000 t) et au plongeon des "autres marchandises".
Cette dernière filière a baissé de 32,93 % pour atteindre cette année 70.336 t au lieu des 104.876 t des trois premiers de 2019. À 4.945 t, le nombre d'EVP sur trois mois n'est pas arrivé à passer la barre symbolique des 5.000 boîtes alors qu'il avait franchi les 7.500 EVP il y a un an.
Sur le volume global de 1,58 Mt, le port de Bordeaux évalue l'import à 1,23 Mt et l'export à 347.197 t. A l'import, l'Europe représente presque 85 % du volume, suivie par l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud notamment. À l'export, l'Europe pèse à hauteur de 75,6 % du tonnage, suivie de l'Afrique du Nord.
Les vracs liquides sont la seule filière à avoir connu une hausse. À 375.403 t, ils ont progressé de 1,92 % contre 368.339 t l'an dernier. La progression de 6,51 % des hydrocarbures (324.793 t contre 304.935 t l'an dernier) a joué un rôle majeur dans l'augmentation de ce secteur d'activité.
À 118.176 t, les vracs solides ont enregistré une baisse de 6,95 % au cours du 3e mois de l'année. Quant à la filière des "autres marchandises", elle a reculé de 3,03 %, pour s'établir à 40.353 t. Dans cette catégorie de trafic, le nombre d'EVP a chuté de 28,82 %, passant en un an de 2.491 à 3.209 EVP.
Recul global pour le trimestre
Pour le premier trimestre, à 1.584.821 t, le trafic global du port girondin a reculé de 7,30 % par rapport à 2019 où il s'était élevé à 1.709.702 t. Cette baisse est due au recul des hydrocarbures (-1,72 %, 1.115.485 t), à celui des vracs solides (-15,08 %, 399.000 t) et au plongeon des "autres marchandises".
Cette dernière filière a baissé de 32,93 % pour atteindre cette année 70.336 t au lieu des 104.876 t des trois premiers de 2019. À 4.945 t, le nombre d'EVP sur trois mois n'est pas arrivé à passer la barre symbolique des 5.000 boîtes alors qu'il avait franchi les 7.500 EVP il y a un an.
Sur le volume global de 1,58 Mt, le port de Bordeaux évalue l'import à 1,23 Mt et l'export à 347.197 t. A l'import, l'Europe représente presque 85 % du volume, suivie par l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud notamment. À l'export, l'Europe pèse à hauteur de 75,6 % du tonnage, suivie de l'Afrique du Nord.
