Athènes a inauguré le 3 mai un nouveau terminal flottant de gaz naturel liquéfié au large d’Alexandroupoli, près de la frontière gréco-turque. Le FRSU, d’une capacité annuelle de 5 milliards de m3, sera pleinement opérationnel d’ici à 2023. Il porte à 15 milliards de m3 la capacité du pays à regazéifier le GNL et doit couvrir les marchés du sud-est de l’Europe.
Dans un contexte de tensions sur l’offre de gaz suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, aux sanctions qui s’en sont suivies et aux menaces de Moscou de couper le robinet des énergies en représailles, certains projets qui tardaient à se concrétiser ont reçu un véritable un coup de fouet. C’est le cas d’un projet gréco-bulgare d’installation d’un terminal de GNL à leur frontière pour alimenter en gaz la région du sud-est de l’Europe. Après s’être enlisé, il vient de se concrétiser.
Alors…
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