Avec son service MPV reliant la Belgique et la France aux Antilles et à la Guyane, l'armateur marseillais a diversifié sa présence dans les Caraïbes en proposant une solution alternative aux lignes conteneurisées. Un bilan encourageant selon le dirigeant de la compagnie marseillaise Guillaume Vidil.
Presque un an après avoir ouvert sa ligne MPV (nom inspiré du terme Multipurpose Vessel), un service ro-ro, conventionnel et acceptant également des matières dangereuses, Marfret se dit satisfait des volumes transportés car il a confirmé sa vocation pour « tout ce qui n'est pas conteneurisable ». Pour ce service hebdomadaire reliant Le Havre, Anvers, Pointe-à-Pitre, Fort-de-France et Dégrad-des-Cannes, Guillaume Vidil, le directeur général de la compagnie française basée à Marseille, attribue ce bilan encourageant à « sa grande souplesse ».
Pour opérer cette ligne, la compagnie a désigné le ro-ro Marfret Niolon, un navire qui affiche une capacité de 1 212 mètres linéaires.…
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