Alors que l'armateur allemand de porte-conteneurs a toujours défendu un développement organique plus classique, considérant la logistique ou le fret aérien comme des « extensions non naturelles » de son activité, il semble se rallier à la stratégie de logistique intégrée de ses pairs.
Faut-il interpréter la dernière acquisition d’Hapag-Lloyd comme un ralliement à la stratégie de ses pairs qui se passionnent pour la chose logistique ? Ou l'assimiler à un revirement de cap ?Rolf Habben Jansen, le CEO de Hapag-Lloyd, a toujours défendu un développement organique plus classique, considérant les métiers connexes (logistique terrestre, fret aérien) comme des « extensions qui ne sont pas naturelles de notre activité ». La présence écrasante dans son capital de Klaus-Michael Kühne (Kühne Maritime et Kühne Holding AG détiennent 30 % des parts de Hapag-Lloyd), hériter de l’un des premiers commissionnaires mondiaux Kuehne+Nagel, doit influencer…
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